La ville doit se faire violence !

Dans les beaux quartiers au 16 ^e  arrondissement de Paris, les policiers surveilles pratiquement 24/24 cet endroit. Les appartements de luxe et les hôtels de luxe attirent les trafics de drogue, les cambriolages, le raquette et même la prostitution.

Pour limiter ses délinquances, 400 policiers veillent sur le quartier jour et nuit.

La plus grande majorité est le racket et se trouve en général près des gares. Les principales victimes sont des jeunes qui sont habillés avec des marques de luxe. Les racketteurs sont souvent majeurs. A proximité de la gare, un collège et lycée se trouve là. Ils sont fréquentés par les habitants du 16^ème.

Les racketteurs profitent alors pour les racketters quand ces étudiants sont seuls.

Antoine, un adolescent de 15 ans c’est fait racketter sa veste parce qu’elle était belle et qu’elle couté chère. Quand ils les ont revus quelques semaines plus tard, il a appelé la police. Ceux-ci sont venu et on  arrêtés tout leur groupes. Avec l’aide d’Antoine, la police a pu mettre en garde à vue le racketteur de l’autre jour. Celui-ci est mineur et va passer devant le juge pour enfant. Le reste du groupe à était relâché mais ils sont très vite arrêtés de nouveau à cause d’un nouveau racket sur deux autres personnes.

Les affaires de raquettes se sont multipliées dans l’arrondissement.

Le cambriolage à souvent lieu. Dans un immeuble vers l’arc de triomphe, un vol par infraction à lieu.

Les policiers sont arrivés sur les lieux mais n’ont pas pu rentrer dans l’immeuble de suite. Les voisins se méfient d’eux malgré que le policier à montrait sa carte. Puis il finit par rentrer et son collègue rester dehors a pu le coincer.

Le trafic de cocaïne est aussi présent dans ce quartier chic. Depuis un an les policiers sont sur une affaire de cocaïne. Pour en savoir plus ils ont décidé de filmer l’entretien, la personne interrogé ne le sait pas. La personne interrogé ne souhaité pas collaborer avec eux, alors la police à du elle-même retracer le fournisseur de cocaïne. Après quelques semaines de recherche, la police a fini par arrêter trois suspects. L’un d’eux avait 6 portables, 1 600 euros sur lui et 5 grammes de cocaïnes. Il vend de la drogue depuis un an et ses portables servaient pour contacter ses consommateurs sans se faire repérer.

Malgré tous ses renseignements, la police ne savait toujours pas qui était le véritable vendeur. Un père de famille qui en consomme un peu, à accepter de collaborer avec eux. Grâce à lui, deux individu ont étaient arrêtés.

Quelques fois la police refais un appel à l’ordre aux prostitué quand un racolage à lieu.

Ils essaient de garder bon contact avec les prostitués et ainsi permettre de collaborer ensemble.

Quand des vendeurs de drogues en proposent aux prostitués, celles-ci préviennent la police.

Les policiers surveillent aussi les escrocs. Ceci vit grâce au tourisme.

Pour éviter que les gens se fassent avoir, des rondes régulières ont lieu, les policiers sont habillés en civils.

La police est aussi là lorsque qu’il y a des tapages nocturnes et des violences conjugales.

Les tapages nocturnes ont souvent lieu le vendredi soir et samedi soir quand il n’y a pas écoles.

A Paris, beaucoup d’intervention de police ont lieu. Ils augmentent les rondes et élaborent différents plan pour mieux coincés les délinquants ou trafiquants. La sécurité des habitants compte beaucoup  pour eux.

Source :

Jean-François (JEFF), MAJOR Patrick, Jean-Philippe, Hervé, Greg. « Les quartiers chic de Paris, reportage ». Consultée le 18 mai 2014. URL : https://www.youtube.com/watch?v=V_v5gJhKVOI&hd=1

Cela c'est passée aux urgences de l'hôpital Nord de Marseille.

La direction de l'hôpital a porté plainte pour acte de violence dans le service d'urgence.

Ces actes se sont passés dimanche et lundi. Mardi les employés ont exprimés son mécontentement face aux actes violent des personnes.

D'après Gilles Halimi, ce genre d'accident de cette gravité arrive au moins une fois par mois.

Le dimanche, un homme était mécontent de son certificat médical et a menacé de mort son médecin avec une « kalachnikov ».

Puis lundi vers 5heures, un autre homme blessé avec son frère dans un accident de circulation, en avait marre d'attendre alors il a cassé une porte à coup de poings.

Les deux vigiles qui étaient présent ont étaient blessés et ont portés plainte pour violence et dégradation.

Le docteur Philippe Jean nous indique que ces faits sont de plus en plus fréquents. Il est responsable du service accueil des urgences adultes.

 D'après lui la violence urbaine c'est désormais importé dans les hôpitaux et il n'y a plus de respect de l'institution.

 Dans les couloirs des urgences de l'établissement, situé dans les Quartiers nord, dans une zone parmi les plus défavorisées de Marseille, beaucoup de professionnels de santé confient avoir subi des violences verbales ou physiques.

 « Il y a quelques semaines, un patient n'a pas était satisfait de son certificat médical alors il m'a craché dessus. Il voulait une semaine de plus et a essayé de me frapper » a déclaré Maéva Delaveau.

Elle est urgentiste depuis 10 ans à Marseille et elle dénonce les comportements 'complètement délirant'.

Malheureusement, le cas de l'hôpital nord de Marseille n'est pas isolé. A l'échelle nationale, 5 760 faits de violence ont été signalés en 2011, selon les derniers chiffres de l'Observatoire national des violences en milieu de santé.

Dans 51% des cas il s'agit d'une violence physique avec une hausse de 4% par rapport en 2010.

Sources :

"Marseille : la violence urbaine est désormais importée à l'hopital". Consulté le 13 mai 2014.

URL : http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/marseille-la-violence-urbaine-est-desormais-importee-a-l-hopital-7860199.html

Le centre Toulouse et Mirail sont deux quartiers de Toulouse. Ils sont comme les autres quartiers au premier abord mais différents si on approfondit.

Dans le centre de Toulouse la population est nombreuse car beaucoup de magasin sont présent. Les habitants se sente en «sécurité» dans ce quartier.

A Mirail, les rues sont désertes. Cependant la fac ce trouve dans ce quartier.

Cet endroit et connu pour être mal fréquenté et beaucoup de personnes entendent parler de vol, racket et agression.

Le Mirail, « miroir » en occitan, reflète à lui seul les maux des quartiers sensibles et renvoie à la Ville rose, plus habituée aux bons points, l'image d'un ratage urbain : ghettoïsation d'une population issue de l'immigration maghrébine, désarroi social, chômage des jeunes, précarité, pauvreté, violence et trafics en tout genre.

En mi-janvier, les chiffres départementaux de la délinquance 2013 sont tombés : pour le seul Mirail, 32 kg de cannabis saisis, 45 armes (blanches et à feu) découvertes et 255 700 euros confisqués.

Claude Touchefeu, adjointe au maire, explique que pendant des années y a pas eu de politique social au Mirail et que depuis son arrivée à la mairie (en 2008), elle essayé de réconcilier ce quartier avec la ville et de le sortir de l'enfermement du ghetto.

Malgré les programmes de réhabilitation, rien ne change, la violence reste là.

Les responsables de la sécurité publique révèlent que les jets de cailloux et voiture brûlé sont en diminution mais la délinquance se 'professionnalise'.

En effet les incivilités empoisonne moins le quotidien mais les voyous sont structurés en équipes de malfaiteur.

La drogue à pris place au sein du quartier et le climat est totalement modifié.

Durant les deux dernières années, la situation s’est durcie. Quand les entreprises sont en rénovation ou que des intervenants viennent de l'extérieur, ils 'dérange les habitudes' annonce Pascal Barbottin dirigeant du patrimoine SA Languedocienne.

Pour limiter le risque de violence, des policiers passent toutes les soirées (entre 20h et 2h du matin) à faire des rondes. Ainsi la population se sent en sécurité.

 Source :

 "Toulouse : le Mirail, de l'utopie à la désillution". Consulté le 13 mai 2014. URL :http://www.lemonde.fr/municipales/article/2014/02/13/le-mirail-de-l-utopie-a-la-desillusion_4360295_1828682.html

Le racisme c’est certaines personnes qui pensent que leur race est supérieure à celles des autres.

Cette haine commence à de plus en plus à diminuer au fur et à mesure des années.

Cependant à New York et à Los Angeles, le racisme continue à être présent.

Dans la vidéo : « Ville en limite : New York, 96^ème rue », on nous parle de ce racisme.

La 96^ème rue de New York montre une nette séparation des deux quartiers : le quartier d’Harlem au Nord et le quartier de Midtown et Downtown, appellé aussi le mur de Berlin de l’argent, au Sud.

Ces derniers sont les plus prospères de la planète alors qu’Harlem est très défavorisé.

Times Square est le cœur vibrant de Manhattan, on y parle toutes les langues et toutes les communautés coexistent.

Mais les personnes de couleurs noirs n’aiment pas trop aller à Downtown parce que la population blanche les regarde de travers.

Etre noir et ados est un handicap pour eux parce que les habitants croient qu’ils vont les braqués.

Alors ils sont plus à l’aise dans leurs quartiers.

Dans Harlem, 60% sont noir et 40% sont d’origine islamique, les maisons sont basses car ils sont en habitats sociales.

Il y a qu’un lycée catholique à Harlem et c’est un des meilleurs lycées de New York. Seuls deux personnes blanches sont dans ce lycée mais ils ne sont pas proches. Une frontière à lieux entre eux.

A New York, dans la vie de tous les jours, on ne parle pas de ce quartier, pour eux ils n’existent pas.

En effet quand les touristes achètent une carte touristique, Harlem n’est pas représenté sur la carte.

Alors une illustratrice décide de faire une carte qui représente Harlem pour montrer qu’il existe bien.

 Après de long combat pour leur quartier, des habitants blancs déménage pour aller habiter à Harlem.

Grâce à cela, les frontières entre les couleurs partent petit à petit et des magasins et des cinémas font leur apparition dans le quartier de Harlem.

 Dans un autre film « La Toxic Tour, une visite des quartiers les plus pollués à Los Angeles », on   nous parle aussi de racisme.

 A Los Angeles, un autre type de racisme est présent : le racisme environnemental.

 Des installions qui rejette des substances toxique dans l’air on était placé juste à côté des habitants noirs et d’Amérique latine.

 On appelle ça un Toxic Tour, c’est-à-dire que des autoroutes et des usines qui provoquent une forte pollution sont juste placées à côté des habitations, des parcs, des crèches et des écoles.

Cette pollution engendre des problèmes de santé que ce soit en la respirant ou en la buvant.

Une lutte contre ce problème a était créée.

La violence conjugale est une des causes de la violence en ville.

En effet les femmes ou les hommes sont battus par leur conjoint, la plupart dans leur domicile familial.

Cette violence se caractérise par des faits et gestes comme la violence verbale, physique ou sexuelle sur leur partenaire ou leurs enfants.

La violence conjugale se manifeste très souvent par cycles d’escalade de tension : agression, psychologiques, verbales puis physiques.

La femme tente désespérément de contrôler la situation en la minimisant, en la niant ou en s’attribuant la cause de la violence de son partenaire. Celui-ci ne manque pas de lui reprocher son attitude soi-disant insupportable pour se justifier.

 Les violences de plus en plus sévères s’inscrivent dans une sorte d’escalade qui commence par exemple par une série de paroles de disqualification, des attaques verbales ou non verbales qui se transforment en harcèlement moral.

Ainsi il embrouille la victime, la met sous son emprise, diminue sa résistance et l’empêche d’agir.

Après chaque acte violent, l’homme regrette ce qu’il a fait et veut se faire pardonner tout en faisant porter la responsabilité de ses actes sur son partenaire.

La femme commence alors à espérer, c’est la phase lune de miel.

Cependant, il n’y a pas que les femmes qui sont battues, les hommes aussi.

Beaucoup d’hommes se font battre par leur femme, seulement on en parle moins car on trouve ça « ridicule » que les rôles soient inversé.

Les enfants sont aussi battus par leurs parents et peuvent être exposés à des actes sexuels en plus d'actes physique et moral.

Ces traumatismes entraînent des violences publiques en menaçant des personnes qui n’ont rien fais, par jalousie par exemple.

Certains enfants ont un comportement violent envers les autres parce qu’ils trouvent ça  « normal ».

Source :

CHAVEZ Azucena. « Violence conjugale ». Consulté le 10 janvier 2014. URL : http://www.institutdevictimologie.fr/trouble-psychotraumatique/violences-conjugales_27.html

La violence sexuelle peut être un viol, de l’inceste, de la pédophilie et du harcèlement sexuel.

Ce type de violence a longtemps était passé sous silence.

 Ce type de violence peut être dû à de l’addiction sexuelle. Les victimes sont particulièrement les enfants ou adolescent.

En générale, ce sont les hommes qui sont « addict » au sexe. Ils perdent le contrôle de soi même, ils ont une obsession de la sexualité, une envie de se masturber assez fréquente (8 à 9 mois par jours) et une forte dépendance.

Il y a quatre phases dans l’addiction sexuelle :

• l’obsession : la personne va penser qu’à ça.

• ritualisation : prononcer des mots et des gestes qui sont toujours les mêmes.

• compulsion : besoin irrépétibles d’avoir une relation sexuelle dans l’instant même.

• désespoir : regret et grande culpabilité après la relation sexuelle. Peut avoir une sensation de tristesse et dépressive.

 Les facteurs des risques que les hommes peuvent commettre des viols sont la consommation de drogue ou d’alcool ; comportement de nature impulsive, antisociale et hostile aux femmes ; fréquentation de personne sexuellement agressives ; le fait d’avoir était victime d’agression sexuelle pendant son enfance...

Il y a plus de risque de violence sexuelle là où la dominance des hommes est encouragée et dans les pays où d’autre forme de violence sont encouragés.

Elle peut avoir plusieurs impact sur la santé : grossesse non désiré, trouble gynécologique, maladie sexuellement transmissible : VIH/SIDA ; dépression ; état de stress post-traumatique ; pensée et comportement suicidaire.

La violence sexuelle à de profonde répercussion sur le bien-être physique, mental, émotionnelle et sociale de la victime.

Sources :

HERIL Alain. « Parlons peu, parlons sexe » - Vidéo. Consulté le 19 avril 2014

URL: http://www.doctissimo.fr/html/sexualite/mag_2001/mag0302/se_3600_abus_sexuel_niv2.htm

« Violence sexuelle ». Consulté le 19 avril 2014. URL :http://www.who.int/violence_injury_prevention/violence/world_report/factsheets/en/sexualviolence_fr.pdf

La violence physiologique est une violence mentale ou émotionnelle. C’est une forme d’abus caractérisé par le comportement agressif ou violent d’un individu vis-à-vis d’un autre individu.

Chez une victime adulte, c’est une violence physique qui débute puis au fur et à mesure des mots et des coups,  la violence physiologique prend le dessus. Cela peut alors engendrer des troubles émotionnelles, dépression, trouble du sommeil, de l’alimentation...

Toutefois les enfants aussi en sont victimes. Environ 70% des enfants voient ses actes de violence se dérouler devant eux et 10% les concernent directement. Ils ont des séquelles physique et physiologique comparable à celle observé chez leur mère.

Un cercle vicieux peut s’installer d’une génération à l’autre car les enfants nés sont aussi concernés et prennent exemple sur leurs parents. Ils pensent que c’est une « éducation » normal et la reporte sur leur descendance.

Il peut y avoir plusieurs cas de physiologie chez l’enfant :

• Le mari ne veut pas d’enfant ou de cette famille, l’enfant se sentira délaissé. 

• Un enfant peut être issu d’une précédente union et peut être la source de conflit. Ils peuvent se sentir rejetés et ignorés

Dans un couple, la rupture trouve son origine dans l’éducation des partenaires et leurs manques de dialogue et des facteurs sont souvent annonciateur de conflits potentiels.

En effet au lieu de chercher une solution à un éventuel compromis, chacun garde pour soi les remarques qu’il porte à l’encontre de son partenaire de peur de sa réaction, de le décevoir ou de le perdre. Cela entraine des conflits plus ou moins violent et peut engendrer des réactions émotionnelles chez la personne. C’est pourquoi il est important de parler à son conjoint afin d’arranger les choses.

Toutes personnes victime de violence physiologique se répercutent sur sa vie sociale.

Source :

 « La violence conjugale ». Consulté le 17 avril 2014.

 URL :http://www.astrosurf.com/luxorion/psycho-violence-conjugale.htm

La violence verbale est un acte de violence caractérisé par des injures, des humiliations ou des menaces.

Elle se trouve dans les foyers, dans les écoles, au travail, dans la rue mais aussi entre amis et dans un couple.

Ce type de violence peut aller des insultes jusqu’au harcèlement.

Les insultes sont souvent utiliser pour atteindre l’intégrité physique d’une personne mais lorsque ses mots blessants se suivent et rendent la vie de l’interlocuteur un vrai calvaire, on caractérise cette violence par harcèlement. Il existe plusieurs harcèlements comme un harcèlement moral.

Un harcèlement moral vise à dégrader fortement les conditions de vie et de travail de son interlocuteur.

 Par exemple au travail la personne peut être accueillie par des mines renfrognés, par des regards fixes voir haineux et peut être montré du doigt. Cela peut aller plus loin par un manque de politesse, des ordres contradictoires concernant une tâche à effectuer et des baissent puis hausse abusive de la charge de travail. L’interlocuteur peut subir des humiliations devant ses collègues concernant son physique, son allure, etc.

La violence verbale la plus répandue est celle qui porte à l’intégrité physique de la personne avec environ 39 %.

On l’entend généralement au travail, dans les écoles, dans les rues et dans les villes.

Source :

JEUNESSE – VIOLENCE. « Les différents types de violence » rubrique, consulté le 25 mars 2014.  URL :http://jeunesse-violence.e-monsite.com/pages/les-types-de-violences.html

La violence physique atteint l’autre dans son intégrité physique.

 Toutes personnes, que ce soit des bébés, des enfants, des adolescents, des adultes ou même des personnes âgés, peuvent être victimes de violence physique.

Parfois les victimes peuvent recevoir des coups qui ne sont pas répétitif comme une bagarre par exemple, mais d’autres victimes peuvent recevoir des coups répétitifs, c’est alors ce faire battre. Les coups peuvent entrainer des lésions corporelles, des lésions des parties molles, des os, des articulations ou encore de la peau. Dans des cas extrêmes, elles peuvent conduire jusqu’à la mort. Les jeunes enfants sont beaucoup plus sensibles aux coups qu’ils reçoivent et peuvent facilement provoquer plusieurs lésions.

Pour l’enfant, les châtiments corporelles influence son développement de sa personnalité et sa relation avec ses parents. Il risque de manquer de confiance en soi et de se sous-estimer ce qui peut l’amener à souffrir.

Cependant il peut avoir plusieurs sentiments différents lorsqu’il se prend des coups : rébellion, résistance, rage, désir de vengeance mais aussi de l’impuissance et de l’abattement.

Les enfants peuvent se replier sur eux même.

La violence physique est due à certains facteurs comme des facteurs individuels, familiaux, sociaux et sociétaux.

Cette violence se répercute alors dans les villes, dans les rues et aussi avec le contact des gens.

Source :

FONDATION SUISSE POUR LA PROTECTION DE L’ENFANT – consultée le 21 avril 2014, URL : http://kinderschutz.ch/cmsn/fr/content/quest-ce-que-la-violence-physique

Les violences urbaines sont des troubles à l'ordre public relativement grave et voient la violence s'exprimer dans une ou plusieurs villes d'un ou plusieurs pays.

 L'expression "violences urbaines" passe, dans le langage commun. Cette expression peut paraître floue pour deux raisons. D'une part la société française est urbanisée à 80% et donc le fait de préciser le caractère urbain n’est pas pertinent.

Ces actes peuvent être commis individuellement comme collectivement avec des intensités et formes diverses. 

 Aujourd’hui il existe plusieurs types de violences :

–        violence physique

–        violence verbale

–        violence psychologique

–        violence économique

–        violence sexuelle

–        violence familiale

Ces types de violence entourent notre monde.

De manière générale, on appelle violence urbaine une « explosion » collective de la population qui s'estime défavorisée ou humilié par les institutions.

Cette violence peut se trouver sous différentes formes : verbale et physique.

Par exemple, récemment en Amérique des groupes de jeunes ont frappé violemment des passants dans la rue jusqu'à qu'ils soient inconscients.

Ils faisaient cela sans raison, en considérant que c'était un jeu.

Des actions de préventions ont commencés à être mis en place en faisant des interventions dans des collèges et des lycées et dans certaines entreprises.

Cela peut permettre aux jeunes adolescents de leur expliquer et de leur faire comprendre que la violence est négative.

Au travers de ces interventions, certaines réponses peuvent être trouvés à la question :

Comment s'exprime la violence urbaine ?

Il est important de se poser des questions sur la violence urbaine. Depuis quand sont-elles apparues dans les villes ? Pourquoi de tel comportement envers les autres ? Qu'est-ce qui les pousse à être violent ?

C'est à ces questions que nous allons tenter d'y répondre.